Dressage d'un mec

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 6 ans

Debout au milieu du salon, je me sentis rougir en me dandinant d'un pied sur l'autre. Assise en face de moi, ma femme expliquait la situation à une amie quelle avait contacté la semaine précédente, après ma petite incartade :

-" J'ai surpris ce pervers devant la télé, l'autre soir, qui regardait un film porno. Il avait la queue à l'air et s'astiquait consciencieusement. Vu le film, j'ai tout de suite pensé à toi. Voilà ma proposition : il est en vacances pour 4 semaines. Comme je n'ai aucun goût pour ce qui semble tant l'exciter, je te le prête pour les vacances. Je verrais ce que je ferai de lui à la rentrée. Soit il respecte le contrat, t'obéis en tout, et je le garde, soit je le vire. Tu es d'accord ? "

-" Bien sûr ! Et tu compte sur moi pour le dégoûter à jamais de ses penchants ? "

" Non, je ne crois pas que ce soit possible. Mais il a une bonne situation, et je me suis habituée à notre train de vie. Tu continueras de temps à autre à remplir sa vie sexuelle, et moi à profiter de son argent. "

-" Parfait. Suis-moi ! " Ordonna elle, en se levant

-" Ma valise n'est pas prête " bégayais-je lamentablement.

-" Pas besoin. Pendant 4 semaines, je pourvoirai à tous tes besoins " me répondit elle en appuyant sur le mot tout.

C'est ainsi que je pris la route un beau matin de juillet, avec une inconnue, dont j'ignorais même le nom, direction sa maison de campagne, en Ardèche. Durant les 4 heures de route, elle ne m'adressa pas une fois la parole.

La maison en question était une ancienne ferme, au milieu d'un grand parc entouré d'un mur de pierre suffisamment haut pour la cacher des alentours, à plusieurs km du village le plus proche.

En coupant le moteur, elle m'ordonna d'un ton sec :

-" Descends, et déshabille-toi "

Comme je commençais à discuter, elle déclara :

-" Ecoute, soit tu tiens à ta femme, et tu obéis sans discuter, soit je te ramène immédiatement. Choisis, mais vite ! "

Je descendis de la voiture, les joues en feu, et je quittais rapidement mes vêtements. Elle avait ouvert sa portière et me regardait d'un air moqueur.

A ma grande honte, la situation m'excitait au plus haut point, et mon sexe se dressait vers le ciel quand je fus prêt. Sans un mot, elle sortit un triple décimètre de son attaché-case, et entrepris de mesurer mon membre viril.

-" 17 cm ? C'est moins que je ne l'espérais. Allonge-toi sur le dos " cracha elle avec ton méprisant.

Quand je me fus exécuté, elle s'avança entre mes jambes et posa sans douceur un escarpin vernis rouge sur ma bite turgescente.

-" Tu m'appelleras Madame, tu ne parleras que quand quelqu'un t'adressera la parole, et tu obéiras à toute personne se trouvant dans la maison. Il faudra que je te fasse épiler le bas ventre et le cul, je déteste les hommes poilus. Aimes-tu ce que je te fais ? "

Tout en parlant, elle frottait vigoureusement son pied contre mon pénis, heurtant assez v i o l e m m e n t mes testicules avec son talon haut à chaque mouvement du pied.

-" Oui, Madame " articulais-je dans un gémissement honteux, tandis qu'un flot de sperme jaillissait de ma verge maltraitée, éclaboussant mon ventre et maculant sa semelle.

-" Parfait ! Nous allons bien nous amuser, tous les deux. Nettoie le...avec la langue, bien sûr "

Avec délicatesse, je lui hotais l'escarpin et gouttais pour la première fois à ma propre semence, surpris par le manque de saveur du fameux liquide. Quand je lui eus remis la chaussure, elle se dirigea vers la grande maison en m'ordonnant de la suivre.

Quand je franchis la haute porte d'entrée, mon sexe était à nouveau parfaitement raide, et le spectacle que j'aperçus dans le hall ne risquait pas de calmer mes ardeurs :

Un homme d'une quarantaine d'années nous attendait. Il portait une petite robe noire, façons bonne de la haute société, avec un petit tablier de dentelle blanche, très chic, si ce n'est que le devant était relevé par la plus grande bite que j'ai jamais vu, en pleine érection, elle aussi.

Il portait également un porte-jarretelle noir, des bas résilles, et des escarpins de vernis noir pourvu de talons aiguilles vertigineux.

-" Je te présente David, mon mari. David, Erik passera un mois avec nous, afin de commencer son dressage. Prépare le pour une initiation. "

Souriant, David me précéda à la salle de bain. Il me passa au cou, aux poignets et aux chevilles de large bracelet de cuir, chacun pourvu d'un mousqueton, qu'il fixa à des anneaux d'acier fixés au-dessus du bac à douche. Il entreprit ensuite de me raser intégralement la toison pubienne.

-" C'est la première fois que tu joues à ce genre de jeu, non ? "

-" Si, monsieur. "

-" Tu peux m'appeler David, je suis à la même enseigne que toi. Comment es tu tombé dans ses pattes ? "

Je lui racontais alors la petite séance de masturbation qui m'avait conduit ici.

-" Ne t'inquiète pas, si tu aimes subir la domination d'une femme, tu seras bien, ici. Et Laetitia sait y faire, pour donner du plaisir à un homme. "

-" Mais moi, je suis plutôt cérébral, je ne tiens pas à être fouetté au sang, ou couvert de pinces sur le sexe ! "

-" Je vais te confier un truc : Laetitia n'impose jamais à ses jouets des trucs qui ne leurs plaisent pas. "

Quand il eut fini, il me détacha, pour me rattacher face au mur, cette fois.

-" Mais comment pourra elle savoir que ce quelle exige me plait ? Je n'ai pas le droit de parler si on ne m'interroge pas. "

Il avait enduit mon anus de mousse à raser, et écartant mes fesses, entreprit de me débarrasser de ma pilosité.

-" Ta queue, bien sûr ! Si tu bandes, elle sait que cela te plait. "

Pour finir ma préparation, il me doucha à l'eau froide et me sécha vigoureusement.

-" Te voilà nu comme au jour de ta naissance. Et... tu aimes, non ? "

J'aurais difficilement pu lui cacher mon excitation. Il passa la main sur mes bourses chauves, remontant le long de mon membre dressé, qu'il se mit à caresser doucement.

A ma grande surprise, je le laissais faire. Jamais auparavant je n'avais été masturbé par un homme, mais il s'arrêta alors que j'étais au bord de l'orgasme, pour me ramener dans le jardin.

Je dus entrer dans une sorte de chenil, où il m'attacha à nouveau, bras et jambe en croix, dos aux épais barreaux d'aciers, et me laissa seul, non sans avoir joué avec mon sexe, s'arrêtant une nouvelle fois juste avant que je n'explose entre ses doigts.

Je restais ainsi la matinée complète, et une bonne partie de l'après midi.

Ma bite qui avait ramolli depuis bien longtemps se redressa malgré moi quand j'entendis des pas dans le gravier de l'allée menant à ma cage. Laetitia apparut. Elle portait de longues cuissardes de cuir noir à talons interminable, de longs gants de cuir noir qui lui arrivaient jusqu'au coude, et un body de latex noir qui la moulait comme une seconde peau, me dévoilant ses seins aux pointes dressées et son mont de Vénus...envoûtant.

Elle fit glisser une main caressante jusqu'à mes attributs virils, jouant avec mes boules pleines de sève, décalottant ma queue pour en faire jaillir le gland, rouge et gonflé de frustration.

-" En pleine forme, à ce que je vois, tant mieux ! " S'exclama elle, l'air ravie.

-" On va faire un peu de ménage, avant notre première séance, si tu permets... même si tu ne permets pas, d'ailleurs " déclara elle d'un air sadique.

Elle sortit un petit tube du sac en papier qu'elle avait apporté, en fit jaillir une petite noisette de matière blanche quelle cueillit du bout du doigt, avant de ressortir du chenil pour me l'appliquer entre les fesses, faisant largement glisser son doigt dans mon rectum, ce qui m'arracha un soupir de plaisir.

Je sentis ensuite un objet glisser entre mes fesses, et aussitôt après de grand jet de liquide tiède envahir mon fondement. Elle revint ensuite me détacher.

-" Si tu en laisse échapper une seule goutte avant mon ordre, tu le regretteras ! Suis, moi dans le jardin, je suis sure que tu as envie d'un gros pipi, non ?"

Je la suivis non sans mal jusqu'à l'autre bout du jardin. A chaque pas, mon ventre gargouillait affreusement, me f o r ç a n t à serrer les fesses et à faire de tout petit pas.

-" Tu peux uriner contre l'arbre. Mais tache de garder les fesses propres, sinon, gare.. "

Ce quelle me demandait était au-dessus de mes f o r c e s. La vessie pleine depuis le matin, je fus incapable de retenir un puissant jet d'urine, et je sentis en même temps mes intestins se rebeller et expulser le liquide dont elle m'avait fait cadeau

-" Gros dégueulasse, tu vas me payer ça. A 4 pattes, suis-moi ! "

Je dus traverser le jardin en sens inverse, m'e f f o r ç a n t maladroitement de suivre son pas rapide.

Dans mon chenil, elle me débarrassa d'abord des souillures dont j'étais couvert avec le puissant jet d'eau glacé d'un tuyau d'arrosage. Je fus f o r c é, toujours à 4 pattes de la suivre jusqu'au portique où elle me suspendit, avec des chaînes passées par un anneau dans les bracelets de mes poignets. Je dus rester ainsi quelques minutes, sur la pointe des pieds pour soulager un peu mes bras tendus, jusqu'à ce qu'elle revienne me passer une large culotte de latex noir et brillant, qu'elle me monta jusqu'à mi-cuisses. Elle ne me laissa qu'un court instant, le temps d'aller cueillir un gros bouquet d'orties.

-" Tu réfléchiras à 2 fois avant de me désobéir à nouveau " ricana elle, en décalottant vigoureusement ma verge à nouveau dressée.

Je hurlais de douleur quand elle passa et repassa son bouquet sur mes fesses, mes testicules et mon pénis. Je ne sais combien de temps dura le supplice. Elle finit par se lasser, remonta la culotte sur mes fesses, et glissa dedans une large poignée de végétaux urticants.

Elle se recula ensuite pour me regarder me tortiller, en la suppliant de me libérer. Mon pieu bien raide moulé par le latex me semblait en feu, j'avais l'impression que mes couilles qu'aucune pilosité ne protégeait plus avaient doublé de volume. De temps à autre, elle s'approchait de moi pour me caresse le bas ventre, entretenant mon érection et la brûlure des plantes, stoppant à chaque fois que le plaisir menaçait de se transformer en jouissance.

Elle finit par faire sauter les pressions de son body, et glissa un doigt dans sa fente trempée pour se caresser impudiquement, non sans continuer de temps à autre d'entretenir chez moi un mélange de plaisir et de souffrance. Elle commença par respirer de plus en plus vite, à pousser de petite plainte de bonheur, et enfin à gémir sans discontinuer en frottant voluptueusement son bas ventre contre la barre brûlante de ma bite, toujours prisonnière de sa prison de latex noir. Elle finit par me détacher, et je tombais lourdement dans l'herbe.

Elle me rejoignit et continua à onduler contre moi, frottant lascivement son minou trempé contre mon bâton ardent.

N'y tenant plus, elle m'arracha presque la culotte de plastique, débarrassa sans douceur mon membre viril des feuilles d'ortie qui y était collées, et, à califourchon sur mon ventre, s'empala littéralement sur ma queue, en poussant de grands cris de jouissances, donnant de grand coup de reins pour enfoncer encore plus profondément mon pieu au fond de sa grotte d'amour.

Bien avant qu'elle ne s'effondre sur moi en tremblant, je lui avais fait don de ma semence en hurlant mon plaisir, d'une intensité inconnue pour moi.

Quand elle se fut remise debout, elle me tendit la main pour m'aider à me redresser et demanda :

-" Alors, on continue, où tu rentres chez ta femme ? "

-" On continue...maîtresse ! " Réussis-je à bredouiller.

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